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Hello ! Comment ça va ?
À Noël, j’ai reçu en cadeau le tome 4 de Hunger Games : La Ballade du Serpent et de l’oiseau chanteur. Je n’ai pas pu résister bien longtemps à l’envie de me plonger dans cette lecture. J’ai donc mis sur pause ma lecture en cours et j’ai commencé ce roman de plus de 600 pages écrit par Suzanne Collins, quelques jours après l’avoir reçu.

Mon ressenti à propos de cette lecture est assez ambivalent. Ça faisait longtemps que je n’avais pas dévoré un livre aussi rapidement (plus ou moins une semaine). J’avais du mal à décrocher. Pourtant, je suis soulagée de l’avoir fini parce que c’était une expérience plutôt désagréable ! 😂 Il faut que je vous explique… mais d’abord Générique ! 

Infos pratiques

Auteure : Suzanne Collins
Parution française : 2020
Éditions : PKJ
Pages : 607

Quatrième de couverture

« C’est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L’avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d’astuce et d’inventivité pour faire gagner sa candidate. Mais le sort s’acharne. Honte suprême, on lui a confié le plus misérable des tributs : une fille du district Douze. Leurs destins sont désormais liés. Chaque décision peut les conduire à la réussite ou à l’échec, au triomphe ou à la ruine.
Dans l’arène, ce sera un combat à mort. »

Mon point de vue

Je suis instantanément entrée dans l’histoire grâce à l’écriture fluide et agréable de Suzanne Collins.

J’ai trouvé l’intrigue bien ficelée et captivante. Les scènes s’enchaînent de façon à maintenir l’attention du lecteur. Entre suspense et rebondissements de fin de chapitre, j’ai dû me forcer à arrêter de lire (parce qu’il faut quand même dormir un peu de temps en temps, les nuits sont déjà assez courtes comme ça 😂).

Le personnage de Snow est, de mon point de vue, très bien construit et cohérent, du début à la fin, mais aussi par rapport à ce que l’auteure nous dévoile de lui dans les tomes suivants… non, précédents… (les préquels, ça m’embrouille toujours un peu 😆).

Quand j’ai lu le résumé et découvert que c’était Snow le protagoniste, j’étais légèrement septique. Étant donné que Snow est quand même le big vilain des tomes 1,2,3, je n’avais pas envie de trouver ce personnage attachant. Finalement, je n’ai pas éprouvé de réelle sympathie pour lui (et ce n’est pas plus mal), mais il m’a intriguée et j’ai aimé comprendre son parcours. 

Lucy Grey, quant à elle, est un personnage énigmatique qui apporte de la profondeur à l’intrigue, mais je préfère ne pas en dire trop à son sujet.

À part ça, j’ai trouvé intéressant de découvrir les différences entre les Hunger Games du temps de Snow et ceux de l’époque de Katniss. 

Bref, beaucoup d’aspects m’ont plu, pourtant, comme je l’évoquais en intro, le sentiment global que je retiens de cette lecture est assez désagréable. 

En fait, j’ai trouvé l’ambiance bien plus violente que dans les premiers tomes (que le premier que j’ai adoré en tout cas). Dans mes souvenirs, il n’y avait pas autant de détails sordides ou alors j’ai oublié (dans ce cas, merci ma mémoire défaillante de m’épargner certains souvenirs perturbants 😄). Dans ce roman, l’accent est mis sur la cruauté des humains et certains passages m’ont bouleversée, pendant plusieurs jours après avoir fini ma lecture (je suis hypersensible, que voulez-vous ? 😊)

En bref, je ne regrette pas la lecture de ce roman qui m’a redonné le goût de lire (des livres papier en particulier), mais je ne le lirai probablement pas une deuxième fois ! 

Si vous l’avez lu, dites-moi en commentaire ce que vous en avez pensé, ça m’intéresse.

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